En qualité de membre de la Commission de la Défense nationale et des Forces armées, je souhaite me rendre compte, sur le terrain, du tissus économique sous-traitant de l’armée française. En Haute-Garonne se trouve un des sites de la société Atos où s’imaginent et se conçoivent les équipements du soldat connecté, l’informatique embarquée dans les véhicules ainsi que les outils de cybersécurité, qui sont plus que nécessaires à l’heure actuelle.

J’ai eu le plaisir de rencontrer les directrices et directeurs des différents pôles de l’entreprise qui m’ont expliqué les enjeux de leurs activités et m’ont assuré être en forte recherche de profils d’ingénieurs à embaucher à Toulouse.

La loi de programmation militaire 2024-2030 consacrera 413 milliards d’euros afin d’adapter les armées à l’émergence de nouvelles menaces. Le Ministre Sébastien Lecornu a annoncé que « La France va s’engager plus franchement sur des domaines comme le cyber, le spatial, le renseignement, la défense sol-air de nouvelle génération et les drones. Ces seuls thèmes représentent plusieurs dizaines de milliards d’euros entre 2024 et 2030. »

Certaines de ces solutions sont made in Toulouse.